Metaphrasis sprl
Traduction et gestion de projet. Membre de la Chambre belge des traducteurs et interprètes - CBTI
4a rue Jumerée, 1495 Villers-la-Ville
BE 0881.548.173
Premières années orientées vers l’apprentissage de la traduction, dans les conditions du marché. Le langage du Parlement européen est assimilé de A à Z. Beaucoup de petits projets...
Responsable du département publications de la Société philharmonique de Bruxelles (aujourd’hui Bozar Music). Un programme de concert bilingue par jour, un défi quotidien !
Collaboration intense et fructueuse avec Raf Thienpont, créateur graphique sévissant dans le milieu de la culture. Gestion de projets avec Le Concours Reine Elisabeth, Flagey, le Service du Patrimoine de Bxl, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg, etc. Nos affiches en permanence dans Bruxelles.
En parallèle, fondation de Metaphrasis sprl, société de services de traduction dans mes domaines de spécialités : politique, UE, économie, culture, histoire, développement durable, la « post-croissance », traduction de presse, traduction de périodiques...
Développement de la branche livresque, plus d’une vingtaine de titres à mon actif... à découvrir ci-dessous... de la culture à la politique en passant par l’avenir de notre économie...
Metaphrasis, la méthodologie d’un service d’agence vers une seule langue, le français, à partir de mes langues sources – NL, EN, ES, IT.
L’intelligence artificielle transforme le secteur en profondeur, générant une concentration et un recours parfois trop important aux technologies, au détriment de ce qu’il y a d’humain dans la communication.
Face à cette évolution, nous pensons qu’il vaut mieux privilégier le savoir-faire et le contact, et trouver pour chaque client le bon équilibre entre la compétence humaine et l’aide éventuelle des machines. Rien ne peut remplacer une discussion entre le traducteur et son client, parce que la communication n’est pas seulement dans la langue, mais aussi autour d’elle.
Autre avantage, lorsque le client me parle, il parle à la personne qui traduit, la chaîne de production n’est pas allongée inutilement.
La traduction, comme n’importe quelle activité, remplit une fonction sociale, à savoir aider les gens et les organisations à communiquer par écrit d’une langue à l’autre. Et cette activité ne saurait s’envisager sans une série de services connexes dont on n’a finalement qu’une idée assez vague.
Passons-les en revue :
Tout d’abord les fondamentaux : qui a écrit le texte, qui le fait traduire, et pour quel public cible ? Sans ces informations, le risque d’erreur est élevé.
Mais traduire n’est pas tout. Il y a aussi la réécriture : il est parfois nécessaire d’adapter le contenu dans certains passages, de l’améliorer, parce que les idées n’étaient pas encore tout à fait claires au départ dans la tête de l’auteur. Ou parce que l’auteur, c’est assez courant, ne maîtrise pas parfaitement la langue de rédaction.
Il faut également procéder à la localisation du texte : une adaptation à un contexte culturel ou géographique est souvent indispensable, même dans les combinaisons classiques comme NL>FR ou EN>FR.
Une fois effectuée la traduction proprement dite, il faut aussi la vérifier : repasser phrase par phrase pour s’assurer qu’aucune coquille n’a pu s’introduire.
Enfin vient la correction, c’est-à-dire la vérification de l’orthographe, de la grammaire et de la syntaxe.
Notre leitmotiv est simple : le contact avec le client, le fait de prendre la peine de parler avec lui, s’assimile à une sorte de consultance : cette conversation permet au traducteur de savoir ce dont il a effectivement besoin et ce que sont ses attentes. Une seule heure de cette « consultance » peut vous épargner énormément de problèmes, éviter des malentendus fâcheux, et vous faire économiser beaucoup d’argent. Nous ne facturons évidemment pas la consultance.
Ce choix de ne traduire que vers qu’une seule langue a aussi ses conséquences du point de vue de l’adéquation possible : nos clients privilégiés sont ceux qui ne doivent faire traduire des textes que vers un nombre limité de langues, car il est évidemment peu pratique pour certaines organisations d’avoir une agence de traduction par langue cible.
Metaphrasis est omnivore, mais elle a tout de même des préférences !
Nous collaborons avec des agences spécialisées dans les relations publiques qui gèrent les contenus textuels de leurs clients. Nous assurons le dédoublement de cette communication – généralement des communiqués de presse – lorsque le chargé de clientèle est néerlandophone ou anglophone, et qu’il faut du français en bout de course. Nous traduisons également pour des organes de la presse francophone ayant interviewé des acteurs de la société flamande.
Nous collaborons avec des agences de traduction qui ont des contrats avec les principales institutions belges et européennes. Langage parlementaire, questions d’actualité, rapport sur des sujets ciblés...
Compte-rendu d’expositions, ouvrages d’art, commentaires musicologiques, articles culturels en général, pour les festivals et les institutions du secteur artistique (NTGent, Opéra de Paris, Concours Reine Elisabeth, Bozar).
De nombreux éditeurs nous ont fait confiance pour reformuler en français des propos complexes, sur des sujets pas toujours évidents, notamment le monde de la « post-croissance ». Voir notre rubrique « Les livres ».
Autre spécialité, la traduction de newsletters, ou magazine d’actualités, publications généralement sectorielles ou liées à un métier ou à une organisation.
Traduire un livre, c’est une aventure, un voyage parfois improbable mais toujours riche d’enseignements.
La famille, c’est sacré.
La musique aussi, en duo avec ma compagne Stéphanie, mais aussi en solo.
La marche, la lecture, et mon potager